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WriteRoom

fait le 01/03/12

A. Présentation rapide :

Son icône :

interface

Qu’es-aco : éditeur de texte
Site de l’éditeur :HogBaySoftware
Traduction : non
Payant : oui
App Store (lien sponsorisé) :

Version démo : non
Interface :

interface

B. Plus en détails :

Après avoir longuement utilisé PlainText, j’ai décidé de tester WriteRoom©, du même éditeur. Un grand merci au passage à son éditeur pour la licence.

Au démarrage, on ne sera pas surpris par l’interface si l’on vient de PlainText. La présentation est en effet identique sur les deux logiciels.

interface

Une barre latérale (Image 1 – 1) affichant l’arborescence de dossiers et de fichiers, une partie droite avec le document actuellement sélectionné (Image 1 – 2) et une petite barre d’outils en bas pour créer un dossier, un texte, et régler les préférences (Image 1 – 3). La seule différence visible est une ligne de touches supplémentaires (Image 1 – 4).

C’est en fait dans les préférences que l’on trouvera les différences (Image 2). Une ligne supplémentaire est en effet disponible : celle des réglages de police.

les préférences

2. les préférences

Contrairement à PlainText, WriteRoom dispose en effet de plusieurs modes de présentation, dont on va en fait régler la police, couleur et taille de texte, mais aussi couleur de fond. L’interligne (line spacing) peut être personnalisé. Il n’y a pas de couleur prédéfinie et il n’est pas possible de mémoriser différents réglages (Image 3).

Polices

3. le nombre de polices accessibles est impressionnant.

La barre d’outils peut être moins visible (interface hint), et le réglage de luminosité (Brightness) est indépendant de celui de l’iPad.

bakground color

4. bon, effectivement, le vert sur du rouge ce n’est pas terrible.

Bien évidemment, comme sur PlainText, on dispose de Dropbox© pour synchroniser le tout. Cette synchronisation peut être manuelle ou automatique auquel cas elle se lancera à intervalles réguliers. TextExpander© l’indispensable est supporté.

La rubrique Advanced permet elle plus de réglages que la version PlainText. Les deux peuvent détecter les liens (URL) au sein du texte et les activer (ceci ouvre alors Safari mobile), affichent ou non les extensions, et permettent un tri alphabétique, avec les dossiers à part.

options avancées

5. les spécificités

Les options spécifiques à WriteRoom sont les suivantes :

La barre de touches supplémentaires est limitée à 9 éléments (Image 6). Il suffit de taper les caractères voulus à la suite les uns des autres. Il ne sera pas possible de les réorganiser, sauf à les retaper.

Extended Keyboard

 6. une barre de touches en plus.

Le reste du fonctionnement est identique. On passe en mode plein écran grâce aux doubles flèches dans l’angle inférieur droit de l’écran (Image 7 – 4), et la circulation dans le texte se fait en tapotant dans les marges avec un doigt pour placer le curseur d’un caractère, et avec deux doigts pour se déplacer d’un mot.

Pour modifier le titre, on tapote dessus (Image 7 – 2) et on peut également faire apparaître le menu d’export (Image 7 – 1), en sachant que l’on dispose de l’impression et de l’envoi par mail, de la même manière que dans PlainText. Le compteur général de mots est également accessible ici (Image 7 – 3) et (Image 8 – 1).

Options d'export et compteur de mots

7 . options d’export et compteur de mots.

On peut également utiliser le menu contextuel : sur une sélection, le compteur affiche la sélection (Image 8 – 2), sinon, il indiquera le nombre de mots global.

compteur de mots

8. Compteur de mots

Au total :

Les différences sont donc assez limitées :

On regrettera :

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